𝗜𝗻𝗱𝗲 / 𝗽𝗵𝗼𝘁𝗼𝗴𝗿𝗮𝗽𝗵𝗶𝗲 / 𝗔𝗽𝗮𝗿𝗻𝗮 𝗝𝗮𝘆𝗮𝗸𝘂𝗺𝗮𝗿 / 𝗗𝗔𝗡𝗦 𝗟𝗘𝗦 𝗥𝗨𝗘𝗦 𝗕𝗟𝗘𝗨𝗘𝗦 𝗗𝗘 𝗕𝗢𝗠𝗕𝗔𝗬

Ce matin, comme d’habitude (les jours où c’est possible), l’interview express de Carole Schmitz, dans l’ « Oeil de la photographie ».Aujourd’hui, elle rencontre Aparna Jayakumar.

La photographe indienne recherche les histoires quotidiennes et magiques, à l’image de son admiration pour Cartier-Bresson ou la fourchette d’ André Kertész . Elle avoue aimer tellement de choses, trop reconnait-elle. Elle aime la vie, le café filtre du sud de l’Inde, les tigres en peluche, les taxis solitaires sous la mousson à Bombay. Elle déteste ? Peu de choses, mais entre toutes cette image de la Première dame ukrainienne qui prend la pose pour Vogue, au milieu des soldats, au milieu des décombres. Plus que tout, elle déteste ce type de récupération.

Si elle pouvait acheter un tableau, elle choisirait celui de Caillebote. Des femmes à genoux qui nettoient un plancher. Elle dit: « 𝘓𝘦𝘴 𝘙𝘢𝘤𝘭𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘥𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘲𝘶𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘎𝘶𝘴𝘵𝘢𝘷𝘦 𝘊𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦𝘣𝘰𝘵𝘵𝘦. 𝘊𝘦𝘵𝘵𝘦 𝘱𝘦𝘪𝘯𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘪𝘮𝘱𝘳𝘦𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯𝘯𝘪𝘴𝘵𝘦 𝘮𝘦 𝘱𝘢𝘳𝘭𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘴, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘴𝘢 𝘤𝘢𝘱𝘢𝘤𝘪𝘵𝘦́ 𝘢̀ 𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘭𝘢 𝘣𝘦𝘢𝘶𝘵𝘦́ 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦 𝘣𝘢𝘯𝘢𝘭. 𝘗𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘰𝘪, 𝘊𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦𝘣𝘰𝘵𝘵𝘦 𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘦𝘯 𝘢𝘷𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘴𝘰𝘯 𝘵𝘦𝘮𝘱𝘴, 𝘪𝘯𝘷𝘦𝘳𝘴𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘦 𝘳𝘦𝘨𝘢𝘳𝘥 𝘮𝘢𝘴𝘤𝘶𝘭𝘪𝘯 𝘦𝘵 𝘦́𝘭𝘦𝘷𝘢𝘯𝘵 𝘭𝘢 𝘤𝘭𝘢𝘴𝘴𝘦 𝘰𝘶𝘷𝘳𝘪𝘦̀𝘳𝘦, 𝘢𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘴𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘦𝘮𝘱𝘰𝘳𝘢𝘪𝘯𝘴 𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘣𝘴𝘰𝘳𝘣𝘦́𝘴 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘢 𝘤𝘢𝘱𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘥𝘶 𝘴𝘵𝘺𝘭𝘦 𝘥𝘦 𝘷𝘪𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘧𝘭𝘢̂𝘯𝘦𝘶𝘳𝘴 𝘱𝘢𝘳𝘪𝘴𝘪𝘦𝘯𝘴. »

RC (ZO mag’)
Photos: DR et 𝗔𝗽𝗮𝗿𝗻𝗮 𝗝𝗮𝘆𝗮𝗸𝘂𝗺𝗮𝗿
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